Peut être es-tu dans la cage de ton corps?

Dans cette cage, tu es convaincue que tu ne peux rien changer, tu te caches constamment, tu te bombardes de mots destructeurs. Ton corps est ton ennemi. Chaque fois que tu te regardes dans le miroir, tu ne vois que des défauts. 

Et si je te donnais la clé pour te sortir de cette cage?

Tu pourrais regarder ton corps avec plus de bienveillance, commencer à établir une communication avec lui, entendre ses murmures sur ce qu’il a envie de faire, boire, manger, vibrer, expérimenter. Ton corps, c’est ton vaisseau dans cette expérience humaine. 

Es-tu dans la cage des étiquettes?

Dans celle-ci, tu utilises des étiquettes pour te définir: je suis paresseuse, je procrastine, je suis une mère, je suis ma profession. Tu n’arrives pas à te sortir de ces étiquettes et vivre ta vie pleinement. 

Maintenant, imagine si tu sortais de cette cage… Les femmes qui en sortent disent oui à des opportunités auxquelles elles disaient non avant. Elles se mettent à jouer encore plus, à créer, à être libre. Elle se mettent à regarder la vie avec une autre perspective. Elles réalisent qu’elles sont beaucoup plus qu’un mot à coller sur leur énergie. 

Ou encore dans la cage du pas-assez (passé)?

Peut-être te dis-tu que tu n’es jamais assez? Pas assez belle, forte, comme lui ou elle, intelligente, puissante, pas assez de dons. Tu te sens toujours diminuée et dépassée par tout le monde. Tu te sers constamment du passé pour cristalliser ton présent. 

Et si tu vivais en dehors de cette cage? Tu comprendrais que le mot ‘passé’ ne crée rien dans ta vie. En utilisant ce mot, tu te mets toi-même en cage, tu crées toi-même des freins. Tu reconnaitrais que chaque mot que tu émets crée ta réalité.

Si tu es dans la cage du ‘il est trop tard’…

Tu te dis peut-être qu’il est trop tard pour commencer à changer? Trop tard pour avoir du fun au lit, trop tard pour essayer de nouvelles choses dans toutes les sphères … (tu peux compléter). Tu penses que tu es dans un cul-de-sac.

En te libérant, tu comprendrais qu’il n’est jamais trop tard, le bon moment est toujours là où ça se produit. Tu te donnerais la permission d’expérimenter de nouvelles choses, le droit de prendre des décisions alignées avec ce que tu veux. Tu n’attendrais plus le bon moment, tu n’attendrais plus l’approbation des autres pour faire des grands changements, tu ne douterais plus de toi. Tu ferais finalement confiance à ta conscience. 

Peut-être es-tu prise dans la cage du rationnel?

Tu es une universitaire, tu es une scientifique, etc. (Insérer ici toutes les professions qui se basent sur des faits). Tu es logique, as besoin de ‘voir pour le croire’. Tu ne comprends pas grand chose aux termes que j’utilise, tu te dis que tu aurais besoin d’un lexique pour me comprendre.

Laisse-moi te poser une question: Est-ce que tu utilises ton rationnel pour éviter ta puissance?

Être rationnelle est souvent une justification.

En te libérant, tu pourrais découvrir que ta vie ne peut pas être basée que sur des faits. Toi seule détient TA propre vérité. Tu accéderas à une plus grande puissance, une vision encore plus large de la vie. Tu te rapprocherais de toi, tu aurais accès à un nouveau réservoir de connaissance qui contribuerait à ton métier ‘rationnel’. Sortir de cette cage, c’est vivre une amplification de ta curiosité. 

Et si tu étais dans la cage du drame?

Peut-être trouves-tu que tout est toujours difficile, tout arrive plus souvent à toi. Peut-être as-tu de la difficulté à voir le positif. Tu as tendance à juger ceux qui t’entourent, la société. 

Pour te libérer de cette cage, la responsabilisation de tes actes, de ton champ d’énergie et de tes paroles est requise. Une fois que ce sera fait, crois-moi, tu seras encore plus consciente, tu développeras encore plus ton habileté à trouver tes réponses, à compter sur toi et à avoir du recul sur des situations.