Nouvelle question testée et approuvée par moi 😂

questions Oct 22, 2019

 

J’ai testé une nouvelle question cette semaine et je me disais : il faut vraiment que je le partage parce que ça peut avoir un impact hallucinant. 

Je suis facilitatrice certifiée avec les outils d’Access Consciousness et j’ai aussi la certification pour donner l’Aventure d’être soi et je suis en train de préparer mon aventure du 9 novembre. 

Je suis constamment en train de lire et de me former parce que je trouve ça absolument fascinant l’impact que tous ces outils ont eu sur moi et c’est pour ça que j’en parle avec autant de passion et que je suis aussi allumée à l’idée de faire des coachings comme je le fais en ce moment avec la 3e cohorte ou avec encore ce grand événement qui va avoir lieu le 9 novembre (il y a déjà 300 personnes d’inscrites). Ce sera grandiose. 

Eckhart Tolle disait récemment que quand il y a 563 personnes dans une salle et que tout le monde libère en même temps, ça a un impact sur un quart de millions de personnes. J’ai donc fixé mon objectif à 563 personnes. Imagine l’impact qu’on pourrait avoir. Imagine! Quand toi tu largues tes bobos, ça se répercute sur les autres et ça fait en sorte qu’il y a plein de gens autour de toi qui vont se libérer. 

Comment ça devient mieux que ça ? 

Avant qu’on se voie, j’avais donc envie de te proposer un outil que tu pourrais tester. 

Combien de fois dans une semaine dans une journée vas-tu dire : je suis fatiguée. Je prends cet exemple parce que c’est une phrase qu’on entend souvent. En plus avec l’automne, les changements de couleur, le changement d’heure, le changement de luminosité… 

Je suis fatigué. 

Dès que tu dis, je suis quelque chose, c’est comme si tu collais une étiquette dessus. Tu le stratifies, tu le cimentes, tu t’identifies, tu te coinces dans un coin. Donc, au lieu de dire Je suis fatiguée, ma suggestion est de dire : mon corps perçoit de la fatigue. Tu vas voir une grande différence. 

Compare-le. Dis : je suis fatiguée, et ensuite, dis : mon corps perçoit de la fatigue. Est-ce que tu perçois le changement d’énergie ? Pour moi, c’est moins lourd de dire : mon corps perçoit de la fatigue. Ça semble être un état moins permanent. 

Quand mon corps perçoit de la fatigue, je peux alors dire : Je perçois de la fatigue. Est-ce que ça m’appartient ? 

Est-ce que mon corps est en train de me donner des renseignements et des informations sur quelque chose en particulier ? Je trouve que ça me donne beaucoup plus de puissance. Il y a beaucoup plus de possibilités de se responsabiliser. 

Mon corps perçoit de la fatigue. Est-ce que ça m’appartient ? Est-ce que je perçois la fatigue de tout le monde, de toute la rue, de toute la maison, de mon bureau, des milliers de personnes qui m’entourent ? 

Est-ce que ça m’appartient ? Oui ? Non ? Retour à l’expéditeur avec mention bienveillante. Si tu as déjà vu mes capsules, tu connais cette phrase-là. Tu sais que plus de 98 % de tout ce qu’on ressent ne nous appartient pas ? 

Si jamais ça m’appartient, s’il n’y a pas plus de légèreté dans mon corps, je vais demander : Corps, de quoi as-tu besoin ? Il a peut-être avoir besoin de repos, d’eau, de respirer, de méditer. Il a peut-être besoin de danser, de chanter, de faire du sport. 

Tu vois comment ça change la perspective? Si je dis je suis fatiguée, c’est comme si ça m’emprisonne, ça m’incarcère et ça m’empêche de trouver des solutions. Quand je dis mon corps perçoit de la fatigue ça me donne beaucoup plus de possibilités de poser des questions et de faire des choix pour voir ce qui est requis pour mon corps maintenant. 

Je le dis souvent. Ne me crois pas sur parole, testez-le. Expérimente-le avec ta famille, tes proches, tes amis. Observe ce que ça fait pour toi. Moi en fait j’ai choisi d’expérimenter parce que depuis que je suis toute petite je suis convaincue que la vie c’est beaucoup plus que ça. Que la vie c’est beaucoup plus que ce qu’on fait en ce moment. 

Un autre exemple, si je suis malade, si je dis mon corps perçoit un malaise. Je viens de me donner tellement de puissance pour avoir d’autres idées, d’autres possibilités, d’autres questions, d’autres choix pour me sentir mieux. On n’est pas dans la conclusion. 

L’objectif c’est de sortir le plus possible de la conclusion. Tu vas voir que plus tu utilises ces outils-là, plus tu développes la puissance de la question, plus tu te rendsz compte à quel point tout le monde est dans la conclusion, dans la finalité, dans l’impossibilité, dans l’impasse alors que juste en ajoutant des questions, moi j’ai ouvert ma vie de façon incroyable. Quoi d’autre est possible ? 

Alors voilà. Tu peux dire je suis fatigué ou mon corps perçoit de la fatigue, mon corps perçoit une douleur à la tête. Comme ça, tu vas toujours pouvoir dire hey corps. De quoi a-tu besoin maintenant ? 

Je sais que le futur nous offre des possibilités infinies. La seule chose c’est que toi et moi on doit choisir de poser de nouvelles questions et d’oser. Ça se peut qu’on ait accès à des informations qui sont au-delà de ce qu’on connaît en ce moment. Ça se peut qu’il y ait une réalité au-delà de cette réalité. Ça se peut qu’il y ait des possibilités au-delà des possibilités qu’on perçoit en ce moment et ça fait partie des choses que j’ai envie de partager le 9 novembre à l’événement l’Aventure pétillante d’être soi

Ce sera quatre heures de discussions d’échanges comme ça. Oui, je serai sur la scène, je vais partir avec quelques idées, mais tu vas pouvoir poser des questions et je ferai de la facilitation de groupe. Il va y avoir des tables de massage pour des séances Access Bars. Ce sera extrêmement puissant. 

Pour plus d’information et pour t’inscrire, clique ici : https://bit.ly/32PBJBO   

Et si le Québec devenait la province la plus consciente avec des gens ouverts, prêts à tester autre chose et à expérimenter autre chose.

 

Propos recueillis par Sylvie Dolbec
Photo :
Victoria Borodinova